Une succession de séquences en noir et blanc
Qui se répètent entre deux éblouissements
D’éclairage blafard coupé brutalement ;
Et, pendant cette absence, la scène reprend.
Clignotements qui s’impriment sur la rétine,
Mettant à mal les visages qui se débinent
Pour fuir l’aveuglement brutal
Qui plonge dans le noir total.
« Catastrophe absolue », désastreuse folie,
Découpent en tranches la soirée de déni
Où les retrouvailles finissent en lambeaux
Dans un crépitement qui colle les morceaux
De leurs espoirs vraiment éteints,
Quand les yeux se ferment soudain,
Au « Théâtre de l’Aquarium »
Où seuls les verres font la somme
De leurs déchirures au summum.
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